7 avril 2010

Je débute en C:SI (3)

Dernier cours d'introduction au CSI. Au programme : le block et le stun.

Frapper sur son adversaire n'est pas tout. Il faut aussi savoir se protéger des coups. Pour cela, le katana permet de bloquer, de parer le coup de l'adversaire. On appelle ça le block.


1 – Le block

Pour faire un block, il suffit de faire : Clic + Page Down ou encore Page Down seul.

Tant que je garde le doigt sur Page Down, je reste en block. Mais je ne peux pas bouger, juste tourner sur moi même pour rester face à mon adversaire.

Si je suis en block et que on me donne un coup de katana, un slash, je ne prends aucun dégât mais je perds de la stamina. Si je n'ai plus de stamina, le coup passe.

Par contre si on me donne un coup de pied, un kick, je prends des dégâts et perds un peu de stamina, moins que pour un slash.

Si on me donne un kick et que je ne bloque pas, le kick me repousse : on appelle ça le push.

Par contre si je suis en block à ce moment là, je ne bouge pas, il n'y a pas de push.

Quelques différentes postures de block. Tous les katans n'ont pas la même et parfois cela peut désorienter.

Avec Yoyo en Guest Star !!

2 – Gestion de la stamina

La stamina se révèle donc très importante : elle me permet de parer les coups de katana, de faire des dashs et des attaques spéciales.

Comme la vie, elle se régénère petit à petit.

Si je tente de faire une attaque spéciale ou un dash et que rien ne se passe, c'est que je n'ai pas assez de stamina pour cela.


3 – Le stun

Le stun ou étourdissement est une des choses les plus importantes dans un échange de coups. Le stun se produit lorsque je donne un slash dans le block de mon adversaire. A ce moment-là et pour un court instant, je suis étourdi, je ne peux rien faire : pas de slash, pas de kick, pas de block. Je suis donc à la merci de mon adversaire qui peut me donner un coup en réplique sans prendre le risque d'en recevoir un en retour.

Il doit tout de même être rapide afin de lancer son attaque sur mon stun, avant que je ne puisse à nouveau me mettre en block.

Une grande partie d'un combat consiste donc à essayer d'éviter d'avoir du stun, mais aussi d'essayer de pousser l'adversaire à faire une faute et à venir frapper du katana dans notre block afin qu'il soit stun, pour pouvoir lui passer une attaque.


4 – Et maintenant ?

Voilà, notre petite introduction se finit ici. Les bases sont posées. Toutefois, ne pensez pas que cela suffit pour maitriser complètement votre katana et faire de vous le prochain dieu vivant du CSI.

Ce ne sont que les bases de la manipulation du katana.

Pour progresser, il faut s'entrainer durement. Beaucoup croit que le CSI est simple. Que une fois les bases acquises et quelques combats faits, on est un combattant aguerri.

Certains mêmes qui ont une grande pratique des jeux vidéos pensent qu'au bout d'une journée de pratique ils sont prêts à affronter les vétérans du CSI. Et au premier combat contre un senseï, ils ne comprennent rien de ce qu'ils leur arrivent.

C'est cela le CSI... aussi une école de vie, de patience et d'humilité.

Les vétérans n'ont pas acquis leur niveau en un jour. il faut beaucoup de pratique, aussi bien sur les machines d'entrainement lorsque l'on débute qu'en faisant de nombreux combats contre des adversaires meilleurs que soi.

Au début, on perd beaucoup et nombreux sont ceux qui abandonnent dès le départ. Mais si on persévère, le monde merveilleux du CSI s'ouvre alors.

L'entrainement et les combats ne suffisent pas : le mieux est d'avoir un maître qui nous transmet son savoir, qui sait nous observer et corriger nos défauts, qui nous apprend à observer, nous enseigne les différentes techniques, comment les mettre en oeuvre, mais aussi comment les contrer.

Pour avoir un maître, un senseï... il suffit d'aller dans un dojo, d'en devenir membre. On devient alors élève.

Mais n'oubliez jamais qu'un senseï peut aussi avoir des moments de faiblesses, de fatigue et que lui aussi a encore besoin de s'entrainer pour devenir encore meilleur et se maintenir à niveau.

On progresse tout le temps et on ne finit jamais d'apprendre.

Alors n'hésitez pas à lui demander des conseils et à le solliciter mais laissez lui un peu de temps pour lui aussi.

N'oubliez pas aussi qu'un senseï est là pour vous aider à progresser mais que le travail, c'est vous qui le faite. Si vous écoutez mais ne mettez rien en pratique, ni ne faites d'entrainements seul sur machine ou par des combats, vous ne progresserez pas. Un senseï est un guide rien de plus, rien de moins, le chemin c'est à vous de le parcourir.

Votre senseï vous connait, il sait ou vous en êtes.... demandez lui conseil. Ne passer pas votre temps à écouter tout ce que on peut vous dire, surtout en débutant. Souvent, à trop écouter autour de soi, on ne sait plus ce que l'on doit faire, on perd pied.

Le débutant a besoin de stabilité pour progresser.


Voilà, fin de notre introduction au CSI. Si cela vous a donné envie de nous rejoindre, contactez moi sur SL, je vous ferai visiter un superbe dojo (un peu de promo ne fait pas de mal, et je pense que nous avons un très beau dojo), le dojo Eternal Blades, qui possède de bons senseïs avec qui vous apprendrez beaucoup.